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Concours TIPE 2024

Pour l’année des Jeux Olympiques : une exposition de 20 photos.
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Cabinet des Curiosités – 2ème JPO

Deuxième matinée portes ouvertes & deuxième visite grand public du Cabinet des Curiosités pour les scientifiques en herbes !

👋Venez en famille au lycée Louis Thuillier le samedi 17 février 2024 matin, à l’occasion de la journée Portes ouvertes des classes préparatoires aux Grandes Écoles, une visite ludique du cabinet des curiosités de physique chimie est organisée !
Une belle façon de célébrer l’année de la physique 2023-2024 ensemble et les 70 ans du lycée.

Venez en famille découvrir et vous renseigner sur nos classes préparatoires post bac.

📌Au programme : visite des locaux, discussions avec enseignants et élèves diplômés, ateliers expérimentaux, histoire des sciences avec visite ludique du cabinet des curiosités de physique chimie, conférences sur les différentes classes préparatoires.

Actualitésprépatémoignage TSI

Romane, ingénieure méthodes et travaux.

  • Pourquoi avoir choisi le lycée Louis Thuillier ?

J’ai choisi ce lycée car j’étais déjà dans l’académie d’Amiens. Un point important pour moi a été le cadre. Un environnement studieux mais également sportif en plus de l’accès à l’internat.

  • Quels sont les plus de ce lycée ?

Le plus du lycée Louis Thuillier sont les petites classes, ce qui favorise grandement l’apprentissage et la cohésion au sein de la classe. Il ne faut pas oublier que vos camarades sont aussi là pour vous permettre de tirer le meilleur de vous-même ! (même si vous serez en compétition contre certains lors des concours). Le corps enseignant est donc aussi plus accessible pour répondre aux questions diverses et vous aider à progresser afin d’être le ou la meilleur.e pour les concours.

  • Quel est votre parcours ?

Après les 2 ans de CPGE, je suis rentrée à l’ESTP en option Travaux Publics. Pour la deuxième année j’ai suivi le cursus Civil Engineering (cursus anglophone de l’ESTP) car je souhaitais améliorer mon anglais, ce qui m’aiderait pour l’expatriation après mes études. Pour la 3ème année, j’ai effectué 6 mois d’Erasmus à la TU München, puis 6 mois à Copenhague au Danemark pour mon TFE chez Vinci Construction Grands Projets sur le projet du Femern (le tunnel immergé le plus long du monde).

  • Quel est votre métier actuel, en quoi consiste-il ?

Actuellement j’occupe le poste d’ingénieur méthodes et travaux. Cela consiste à la préparation des travaux et des méthodes d’exécution des chantiers tels que les procédures d’exécutions, les vérifications des designs et leurs optimisations, ainsi que la gestion des sous-traitants et des fournisseurs. Tous cela en en tenant compte des budgets, des plannings et surtout en implémentant dès le début la sécurité !

  • Des conseils à donner ?

En passant du lycée à la prépa, vous verrez vos notes baisser fortement, ne vous en faites pas. La prépa est là pour que vous soyez meilleur.e que vos camarades lors des concours. Attention un concours n’est pas un examen, ne vous mettez pas en tête qu’il faut simplement avoir la moyenne. Vous pouvez avoir 5/20 et être le ou la meilleur.e élève ! et au contraire avoir 16/20 et être parmi les dernier.ère. Il faut donc donner le meilleur de vous-même, miser sur les matières sur lesquelles vous vous démarquez car vous ne pourrez pas tout connaitre et tout savoir !

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Charlotte, Ingénieure d’affaires chez EDF

  • Pourquoi avoir choisi le lycée Louis Thuillier

A l’époque, c’était le lycée de rattachement sur Post-Bac. Après avoir visité d’autres prépas, plus proche de mon domicile, j’ai choisi le lycée Louis Thuillier car les professeurs étaient davantage à l’écoute des élèves et rassurants. Les différentes installations (pour les TP par exemple) étaient aussi un gros plus. Le lycée ayant aussi un internat était aussi une plus-value lors du choix.

  •  Quels sont les plus de ce lycée ?
    • L’internat ;
    • Des enseignants à l’écoute et motivants ;
    • Les installations pour les travaux pratiques ;
    • Amiens est également une grande ville 😉 ;
  • Quel est votre parcours ?

J’ai toujours eu un attrait pour les domaines de l’industrie. Je me suis donc orientée vers un BAC STI2D sans hésitation car davantage concret.
Après mon bac, j’ai eu du mal à trouver ma voie, je me suis donc orientée vers une classe prépa pour continuer dans le domaine général.
En fin de première année, je manquais de concret. Je suis donc partie dans une autre formation pendant un an. Et c’est lors d’un stage, réalisé dans le cadre de cette autre formation, que j’ai eu le déclic. Je savais que je voulais terminer ma formation généraliste (la classe prépa) et m’orienter vers de l’alternance pour rendre ma formation plus concrète et professionnalisante.
Grâce aux professeurs encadrant la classe prépa TSI, j’ai pu revenir et saisir ma chance de finir ma classe prépa et continuer sur de l’alternance.
Après la classe prépa, j’ai intégré l’institut supérieur de mécanique de Paris SUPMECA pour 3 années en formation de Génie Industriel.

  • Quel est votre métier actuel, en quoi consiste-il ?

Aujourd’hui, je suis Ingénieure d’Affaires Technique pour le Département des Pièces de Rechange et Logistique de l’Unité Technique Opérationnelle d’EDF. Cette unité est un appui au parc nucléaire français sur divers domaines (opération de maintenance, projets, appui aux équipes de maintenance, etc.). Le département auquel je suis rattachée a la charge de la gestion des pièces de rechange pour les centrales nucléaires. Nous sommes répartis par type de matériel (pompe, turbines, échangeurs thermiques, alternateurs, vannes, etc.) puis par fournisseurs. Personnellement, j’ai en charge une partie des pièces de rechange des turbines auxiliaires. Mon quotidien n’est jamais le même, mais voici un échantillon de mes missions :

    • Rédaction de cahier des charges afin de garantir la conformité technique et réglementaire des pièces que nous mettons à disposition ;
    • Appuyer les centrales lors de leur maintenance (trouver des solutions alternatives si une pièce est manquante par exemple) ;
    • Réaliser un suivi avec les fournisseurs des approvisionnements ou projets en cours ;
    • Gestion des fiches techniques des pièces de rechange ;

Mon quotidien est difficile à résumer, si je dois le faire en une phrase c’est la suivante : je suis la garante technique des pièces de rechange que je mets à disposition pour le parc nucléaire français.
La logistique associée étant assurée par mes binômes.

  • Des conseils à donner ?

Toujours s’orienter vers les filières dans lesquelles on se projette, ne jamais s’engager dans une filière par dépit. Si vous ne trouvez pas votre voie à ce stade de votre orientation, ce n’est pas grave. C’est même normal ! Tout fini par se dénouer quand vous aurez trouvé votre place. L’Industrie est grande, vous trouverez le métier pour lequel vous aimerez vous lever le matin !

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Antoine, ingénieur R&D chez Expertise Vision

  • Pourquoi avoir choisi le lycée Louis Thuillier ?

Après un refus en bac S, on m’a orienté vers la filière STI2D. Déjà peu un geek dans l’âme à l’époque, je me suis orienté vers la spécialité SIN. Ne sachant pas trop quoi faire en fin de STI2D, et pensant partir par défaut sur un DUT Info pour ensuite intégrer une école d’ingénieurs, c’est mon professeur de mathématiques, Kholleur au lycée Louis Thuillier, qui m’a expliqué qu’une prépa existait pour les élèves de STI2D et que j’avais les bases nécessaires pour intégrer la prépa. J’ai sauté sur l’occasion ! Surtout que c’était le lycée où j’avais fait ma seconde et que ça restait juste à côté de chez mes parents.

  • Quels sont les plus de ce lycée ?

La proximité : l’équipe pédagogique des CPGE au top qui n’ont pas eu le choix de supporter mon niveau lamentable sur les deux premières années, mais toujours là pour m’accompagner à progresser, je pense notamment à notre Babar national ou Jlω, nos professeurs référents 1ère et 2ème année. Le fait qu’on soit en cité scolaire de trois lycées, ça permet de rencontrer du monde.

  • Quel est votre parcours ?

Suite à deux premières années bien infructueuses, que ce soit vis-à-vis des résultats aux concours, ou de mon niveau global à ce moment-là, on m’a proposé la 5/2, qui reste encore pour moi, ma meilleure année en termes d’apprentissage et surtout de déclic de démarrage de compréhension de la méthode. Je me souviens encore de M Brissot ou M Baudoin qui me répètent sans cesse d’être rigoureux. Avec le recul, je suis parfaitement conscient que j’avais un long chemin à faire.

Sinon, après cette 5/2, j’ai intégré Polytech Annecy en Mécanique Mécatronique. J’ai fait le choix de cette formation parce que je voulais pouvoir comprendre les systèmes autour de moi et de ne pas forcément être spécialisé dans un domaine spécifique comme l’informatique qui était, et est toujours, ma grande passion autant pro que perso. J’avais le choix entre cette école et une alternance à SupMeca Paris en Mécatronique, mais n’appréciant guère Paris et voulant profiter quand même un peu, j’ai préféré m’orienter vers nos douces montagnes de Haute Savoie.

L’école étant rattachée à deux laboratoires, le LISTIC et le SYMME, j’ai fait la connaissance d’enseignants chercheurs qui m’ont permis de travailler sur des sujets de robotique (ROS) ou de vision plutôt avancés (Gestion de caméras, détections de marqueurs via GPU sur systèmes embarqués, du deeplearning) lors de mon stage de 4ère année ou du projet R&D en début de 5ème année. Je n’ai pas fait de mobilité à l’Internationale, la phase COVID est arrivée à ce moment-là.

J’ai réalisé mon stage de fin d’études sur un projet recherche chez Expertise Vision, une petite entreprise d’une dizaine de salariés. A la suite de ce stage et après une courte phase de 8 mois à travailler sur divers projets de R&D au sein de cette même entreprise, j’ai démarré une thèse CIFRE (version alternante du doctorat classique) tout en gardant mon poste d’ingénieur R&D en CDI. Cette thèse est en collaboration avec les Mines de Saint Étienne et je travaille à la création d’un jumeau numérique depuis Avril 2023.

  • Quel est votre métier actuel, en quoi consiste-il ?

Je suis donc aujourd’hui Ingénieur Recherche et Développement. Je touche un peu à tout et je cherche les moyens de résoudre des problèmes complexes avec un cahier des charges exigeant. Je peux très bien aussi ne faire que du développement. On sait que la méthode existe, qu’elle marche et est référencée dans les divers papiers de recherche, il faut maintenant l’implémenter sur nos machines.
L’avantage de la R&D, c’est son côté multidisciplinaire ! Je fais de la conception mécanique, (beaucoup par choix) de la programmation, du système embarqué / de l’électronique.
Depuis Avril 2023, je prépare une thèse de doctorat en mathématiques appliquées sciences des images et des formes. Titre peu original à mon goût, je préfère dire que je travaille sur un jumeau numérique. Il vise à automatiser un système de dévracage (tri en vrac) de petites pièces. Cela passe par la création automatique de recettes pour chaque type de pièces à partir de simulations par moteur physique, de rendu réaliste (ray/path tracing si quelques joueurs sont parmi les lecteurs), de segmentation et classification sur images. L’ensemble de ces processus fonctionnant ensemble, doit simuler ce qui se passe dans la réalité sur la machine, afin de pouvoir prévoir les futures intégrations et demandes clients.

  • Des conseils à donner ?

A l’instar de Gusteau dans Ratatouille ( tout le monde peut cuisiner), je vous dirais : Tout le monde peut y arriver ! Certes, il faut parfois s’en donner les moyens en essayant de comprendre sans cesse et parfois prendre des risques et peut être, pour rien, car comme moi, vous n’êtes pas à l’aise avec les maths qui ne sont pas appliquées. Ne vous découragez pas, même si c’est une phase de la prépa qui peut arriver plus vite qu’on ne pense.
J’ai commencé très bas, j’ai galéré pendant de nombreuses kholles, et de nombreux, nombreux DS. Mais, avec le recul, à aucun moment, je ne regrette ces “claques” prises par ces résultats. J’ai mis longtemps à trouver ma méthode : Comprendre pour savoir faire. C’est sûr que j’étais plutôt difficile côté pédagogie… La CPGE vous force à savoir un peu de tout sur tout, c’est très bien mais n’oubliez pas de faire ce qui vous plait ! Il faut positiver ! Voyez finalement un 2 en maths comme la possibilité de pouvoir faire mieux !
Certes je n’ai pas eu une “grosse école” comme on les appelle, mais ma petite Polytech (peu coûteuse comparé autres écoles, pour ceux qui n’auraient pas forcément les moyens) a été au final un tremplin pour progresser que je ne regrette absolument pas ! Comme je le disais au début de ce long pavé, prenez des risques, si vous persistez, ça marchera !

Et bien sûr ! N’oubliez pas de profiter ! Car la vie pendant 2 ou 3 ans dans les formules et autres schmilblicks, c’est dur ! Donc détendez-vous ! Pour ma part, j’avais un peu négligé cette partie quand j’étais en prépa, mais je me suis bieeeen rattrapé en école d’ingé plus tard 🙂

Si vous avez des questions, une envie d’échanger, n’hésitez pas à me faire un mail sur antoine-leroux[CHEZ]orange.fr, je vous répondrai dès que je pourrai 😉

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Conférence de Karine BOUCHER sur les violences conjugales

Victime d’une tentative de meurtre par son ex-conjoint en 2010, Karine BOUCHER est venue au lycée le 16 janvier présenter son parcours de vie : d’abord vingt ans de violences conjugales puis les voies de la résilience et de sa reconstruction.

Dans un premier temps, elle a rencontré des élèves de seconde dans le cadre d’un travail sur l’emprise mené en cours de français puis les étudiants de deuxième année de la prépa ECT dont le thème de culture générale porte justement sur la violence.

Merci à elle pour ce témoignage très fort.